Un matin très tôt, alors qu'on allume la radio, on tombe le Concerto n°3 de Beethoven. Si on reconnait tout de suite le concerto, on hésite sur l’interprète. On s’arrête alors sur un parking pour être tout à l’écoute. Ce doit être Rubinstein. Oui, ce doit être lui car on sent que le pianiste n’est pas un exécuteur de notes mais l’interprète d’un souffle. Une fois le morceau fini, on annonce qu’il s’agit d’un extrait de concert de 1945, avec Toscanini au pupitre et… Rubinstein au piano.
Quand on reprend la route, on réécoute le morceau dans la version de Clara Haskil. On a le temps pour Emil Gilels. On réécoutera Rubinstein ce soir.
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Beethoven, Arthur et Arturo.
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Cake d’amour.
Dimanche matin, alors que la préparation du repas dominical avance bien, se demander si ce ne serait pas sympathique de faire un gâteau pour l’après-midi : le temps est maussade, on restera tous assis tranquillement à bavarder, à feuilleter quelques magazines, à tricoter, à être ensemble. A ce moment-là, dans l’émission Musique émoi, Agnès Jaoui parle de Peau d’Ane et du cake d’amour. Alors que la chanson démarre, tout en chantant aussi, on sort la farine, le beurre, les œufs, etc.